Attaque contre un groupe de personnes ou une communauté

En l’espèce, il s’agit spécifiquement d’attaques visant :
- La communauté islamique
- La communauté juive
- La communauté LGBTQ+
- Les femmes (par haine envers les femmes)
Ces attaques peuvent avoir de graves conséquences sur la sécurité et le bien-être des groupes concernés.
Causes et conséquences
Causes
Que pouvez-vous faire ?
- Êtes-vous témoin ou victime de violence contre ces groupes ? Appelez la police au numéro 101.
- En tant que victime ou témoin de discours de haine ou de crime haineux, vous pouvez également signaler une discrimination auprès d'Unia.
Impact et probabilité
Les chiffres relatifs à la probabilité et à l’impact décrivent une attaque contre un groupe de personnes ou une communauté d’ampleur considérable. La BNRA décrit théoriquement un tel scénario comme suit :
- Un auteur potentiel utilise du vandalisme ou un discours haineux pour transmettre un message politique et/ou exprimer des frustrations.
- L’impact sur la vie et la santé des éventuelles victimes est léger, se traduisant par un état de choc ou des blessures mineures.
- En cas de vandalisme, les dégâts sur le bâtiment ou l’événement sont légers et ne compromettent pas son fonctionnement.
- Une seule personne ou un seul bâtiment est visé lors de l’attaque.
Comment lire ces résultats ?
Dans le cadre de la BNRA, les experts ont évalué 3 scénarios par risque : considérable, de grande envergure ou extrême. Chaque page présente les résultats du scénario pour lequel le score probabilité x impact est le plus élevé. Cela ne signifie pas que ce scénario se produira de cette manière ou qu’il est le plus probable. En savoir plus sur la manière d’interpréter correctement les résultats.
Probabilité
Élevé
Impact humain
Très faible
Impact sociétal
Faible
Impact environmental
Pas d'impact
Impact financier
Faible
Que font les autorités ?
En Belgique, l’institution publique indépendante et interfédérale Unia lutte pour l’égalité et contre les discriminations.
Divers partenaires publics et services de sécurité collaborent quotidiennement dans la lutte contre le terrorisme, l’extrémisme et la radicalisation, par exemple l’Organe de Coordination pour l’Analyse de la Menace (OCAM), la Sûreté de l’État, la Police fédérale, le Service général de renseignement et de sécurité, la Défense, etc.
Ils échangent des informations, mettent en œuvre la stratégie de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, y compris le processus de radicalisation (stratégie T.E.R.) et coopèrent avec les services de renseignement étrangers.